Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme, mais la mortalité a fortement diminué depuis que les dépistages ont été généralisés.
Après le coup de massue à l'annonce de la maladie, ce moment où tout bascule, on ne sera plus jamais la même personne. Oui, il y a des difficultés à surmonter, des traitements à suivre, l'annoncer à l'entourage et gérer leurs réactions, un stress physique et psychique, l'angoisse de la mort, l'espoir de la guérison, mille et une questions qui trottent dans la tête.
On revient souvent à l'essentiel : vais-je continuer à vivre comme avant ? mettre des priorités différentes ? qu'est-ce qui est essentiel, qu'est-ce qui est futile ? qu'est-ce que je vais privilégier si je guéris ? ou s'il me reste peu de temps à vivre ? On ne peut pas s'empêcher de penser au pire, ça nous met face à notre finalité.
Un cancer est une maladie grave qui modifie beaucoup de choses en soi et autour de soi.
On passe par des phases de désespoir, de grande fatigue, et de motivation, de courage et de force.
Les femmes sont très souvent bien entourées par le corps médical, compréhensif, humain et efficace.
La prise en charge est rapide et généralement, dans le mois qui suit le diagnostic, une opération est prévue, pour enlever la tumeur, puis le traitement par radiothérapie ou chimiothérapie est mis en place immédiatement après.
La patiente est suivie, jusqu'à sa guérison, guérison très fréquente puisque 93% des femmes sont guéries après deux ans, soit 9 femmes sur 10 !
Dans certains hôpitaux, des bénévoles prodiguent des soins esthétiques aux patientes en chimiothérapie : coiffure, manucure, pédicure, conseils de maquillage. Dans ces moments-là, il est bon de se réconcilier avec son corps, de s'occuper de soi, de reprendre contact avec sa féminité un peu perdue.
L'importance du dépistage : Pour espérer une guérison, il faut bien sûr que le cancer soit pris en charge le plus tôt possible. C'est surtout grâce au dépistage que la mortalité du cancer du sein a diminué.
On peut faire le dépistage soi-même par la palpation, et compléter par une mammographie tous les deux ans, ou chaque année si vous êtes "à risque" : cancers du sein dans la famille.
Soyez attentive à la moindre grosseur, au moindre nodule ou à un écoulement du mamelon. En dehors de l'allaitement, le mamelon ne suinte jamais ! Il vaut mieux consulter une fois pour rien que de laisser échapper un signe avant-coureur.
Si vous avez une prédisposition génétique, soit des cancers du sein dans votre famille, vous serez suivies davantage.
Une alimentation équilibrée, un peu d'activité physique, une vie saine et pas de tabac sont un bon moyen de vous prémunir contre le cancer en général.
Josette Sauthier
il faut tjs se surveiller
RépondreSupprimerc est ce que je fais mais depuis novembre 2013 j ai 1 ecoulement du seins couleur marron au debut et jaunatre par la suite j ai fais mamo eco prise de sang rien au mois de juin 2014 rebelotte mamo eco prise de sang toujours rien je suis aller voir le cancerologue qui lui meme ma dit c benin la je recommemce ces examens samedi et mon seins coule toujours tres peu qu en pensez vous ,,
RépondreSupprimeren novembre 2013 j ai eut 1 ecoulemnt mammaire de couleur marron pendant 2 mois puis ensuite jaunatre je suis aller voir mon docteur traitant qui ma fait faire prise de sang mamo eco rien a signaler ensuite en juin 2014 mon seins coule tjrs donc je suis aller voir 1 cancerologue qui ma fait mamo eco prise de sang tjrs rien il ma dit c benin aujourd hui mon sein coule tjrs tres peu mais coule donc rebelotte mamo eco prise de sang a refaire samedi qu en pensez vous ???? merci de me repondre
RépondreSupprimerBonjour ! J'espère que vous comprendrez bien qu'il est impossible de vous donner un diagnostic sans vous avoir vue et sur la simple lecture de ces lignes. Remettez-vous à votre médecin, oncologiste qui a toutes les données en main.
SupprimerBonne continuation et j'espère que vous guérirez bien vite.